Halte au bruit en entreprise, il réduit la concentration !

bruit en entreprise

D’après une étude du groupe Malakoff Médéric (données relayées par ADEME), 58% des salariés français affirment être exposés aux nuisances sonores dans le cadre de leur travail.

80% d’entre eux renchérissent et affirment avoir un travail fatigant pour les nerfs. Ces statistiques prouvent que le bruit en entreprise fait partie des principales sources de perturbation, mais surtout de réduction de la concentration.

Bien évidemment, cette gêne occasionne d’importantes conséquences sur la productivité des travailleurs et les entreprises gagneraient à trouver des solutions efficaces.

Qu’est-ce qu’on appelle le bruit ?

D’après une définition de l’AFNOR, le bruit est « toute sensation auditive désagréable ou gênante, tout phénomène acoustique produisant cette sensation, tout son ayant un caractère aléatoire qui n’a pas de composantes définies ». Un peu compliqué tout ça n’est-ce pas ?

Pour faire simple, on peut définir le bruit comme étant l’ensemble des sons que perçoit l’ouïe et que l’on mesure en décibels (dB).

En France, le ministère chargé de la sécurité au travail a fixé la limite d’exposition au bruit en entreprise à un maximum de 87 dB, un seuil qu’il n’est pas rare de voir dépassé dans certaines structures professionnelles.

Le bruit au travail, important facteur de déconcentration et de stress
Parmi les conséquences néfastes du bruit en entreprise, la perte de concentration vient en premier.

Et pour cause, il est évidemment difficile, voire impossible de se concentrer dans un environnement bruyant. Que ce soient les conversations des collègues des bureaux voisins, les bruits de machines ou encore les bruits à l’extérieur, rien de tout ceci ne facilite la tâche aux travailleurs.

Et bien que les espaces de coworking et les open space facilitent les échanges entre collaborateurs, leur existence ne fait qu’amplifier le problème des nuisances sonores au travail.

A la perte de concentration comme conséquence du bruit au travail, s’ajoute le stress comme on peut s’y attendre. Et qui dit stress, dit logiquement fatigue cérébrale, puis baisse de productivité au poste.

Des solutions pour réduire le bruit au travail

L’impact négatif du bruit, tant sur le bien-être des travailleurs que sur la croissance d’une entreprise n’est plus à démontrer.

Il est donc impératif que des dispositions et mesures comme celles que propose Langlois Sobreti, soient prises pour lutter contre les nuisances sonores en milieu de travail.

Plafonds suspendus, cloisons démontables et solutions acoustiques, etc., les moyens de lutte contre le bruit sont divers, et ce spécialiste de l’aménagement intérieur les propose dans toutes les dimensions.

Et surtout, ses services accompagnent les professionnels, tant pour la conception de ces solutions acoustiques que pour leur pose.

Les protections auditives

C’est la principale solution acoustique que de nombreux employeurs adoptent. Et si l’on se réfère aux nouvelles règlementations en matière de réduction de l’exposition au bruit, les protections auditives individuelles ont de beaux jours à venir.

L’abaissement des niveaux sonores

C’est sans doute la réponse la plus efficace face au problème du bruit sur les lieux de travail. Entre autres techniques de réduction du bruit au travail, on retrouve :

  • L’évaluation des niveaux de bruit, dont l’employeur doit se charger, avec l’aide d’un médecin du travail. Il s’agit d’une recommandation légale à laquelle toutes les entreprises doivent se conformer ;
  • Le contrôle du bruit à la source : certaines entreprises optent pour des solutions antibruit faciles à mettre en place, autres que les protections auditives ;
  • Les programmes de protection de l’ouïe : l’employeur délimite des espaces antibruit au sein de la boîte et veille au respect strict de ces zones ;
  • Les corrections acoustiques des locaux : on retrouve ici toutes les solutions permettant de diminuer la réverbération d’une pièce. Il s’agit par exemple de plafonds acoustiques et des cloisons absorbantes. On pourrait citer les parois mobiles dans ce registre, mais elles représentent plutôt des compléments aux mesures de correction acoustique.